“Pourquoi la France doit-elle dissuader Bruxelles de taxer la cigarette électronique.”
La tribune a consacré le 03 Novembre 2021, un article qui relaie les propos de Jean Moiroud, Président de la Fédération interprofessionnelle de la Vape (FIVAPE).
Qui est la FIVAPE ?
La FIVAPE est une organisation professionnelle sous forme d’association loi 1901, dont les membres sont indépendants des fabricants de produits à fumer. Son but est de défendre et d’accompagner le développement de la filière vape.
La FIVAPE s’implique activement dans l’amélioration constante des exigences de sécurité et de qualité des produits du vapotage et s’engage au quotidien au côté de tous les professionnels de la vape.
Alors qu’en ce mois de novembre 2021 vient de débuter la 6e édition du Mois sans Tabac proposée par Santé publique France et le Ministère des Solidarités et de la Santé, dont la FIVAPE est partenaire. La tribune.fr publie un article consacré à la vape, dans lequel Jean Moiroud exhorte le gouvernement français à prendre le leadership de l’Union européenne pour la lutte anti-tabac, alors que la France va prendre la présidence de cette institution.
“En ce mois anti-tabac, et à l’approche de la présidence de l’Union européenne, la France doit défendre son leadership dans cette filière, aujourd’hui menacée par le lobby du tabac à Bruxelles qui menace de taxer les e-liquides et en limiter les arômes », estime Jean Moiroud, Président de la FIVAPE.
Résumé des propos développés dans l’article de la tribune.fr :
Après quatre années de baisse continue dans l’Hexagone, la consommation tabagique est repartie à la hausse, aggravée par le stress de la population dû à la crise sanitaire.
La France se doit de mettre en œuvre tous les moyens à sa disposition pour aider les fumeurs à se débarrasser de cette addiction mortelle.
La cigarette électronique est une innovation historique de santé publique, dans le cadre du sevrage tabagique. En effet, la vape est un outil de substitution efficace associant nicotine et gestuelle, tout en assurant aux vapoteurs une réduction des risques de plus de 95% par rapport au tabac fumé. Elle a déjà permis à plus d’un million de fumeurs français de sortir du tabac et est de loin l’outil le plus efficace actuellement à la disposition des personnes désirant se sevrer de cette addiction qui tue chaque année 75 000 Français.
En ce moment même, en France, le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) révise son avis ” bénéfices – risques ” sur les produits du vapotage.
Cette évaluation sera déterminante, car elle servira de référence à l’élaboration de la politique nationale de lutte contre le tabac et participera à définir la position du Gouvernement français dans les négociations européennes à venir.
La filière de la vape française un atout majeur.
La filière de la vape française dispose d’atouts incomparables pour servir d’exemple. Indépendante de l’industrie du tabac dans sa très grande majorité, elle est à l’origine des principales normes volontaires sur les produits du vapotage et ce dès 2015. Ce qui lui permet de travailler au quotidien et en toute transparence avec les acteurs de santé publique et de réduction des risques. Elle a créé plus de 13 000 emplois directs et indirects sur l’ensemble du territoire, pour environ 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires. Faisant de cette filière de la vape une arme redoutable pour faire de la France le leader européen de la lutte anti-tabac.
La prochaine présidence française du Conseil de l’Union européenne soutenue par sa filière de la vape est une opportunité de placer notre pays en position de leader de ce combat.
Une occasion, à ne pas laisser passer, de placer notre pays en position de leader de ce combat contre le tabac.
Retrouvez l’article complet en suivant ce lien : Pourquoi la France doit dissuader Bruxelles de taxer le vapotage.